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Week-end en famille dans le comté de Sligo

Keash caves grottes Sligo

Dès qu’on le peut, on prend la route, ma fille et moi. On sort de Dublin, et on part sur routes et chemins d’Irlande, toujours avec le même enthousiasme, toujours avec la même curiosité. L’automne et l’hiver davantage encore, parce que j’aime la tranquillité de ces saisons, loin des foules estivales. Mi-novembre, j’avais choisi ce week-end-là de nous emmener dans le comté de Sligo, au Nord-Ouest de l’Irlande, en partant le Vendredi soir, jusqu’au Dimanche soir. Deux nuits donc, et un week-end entier, en famille, dans le comté de Sligo ! J’avais trouvé un B&B qui plairait certainement à ma fille, une ferme équestre où chevaux, chiens, chats semblaient faire partie de la vie de la maison.

Carte du comté de Sligo en Irlande

Direction comté de Sligo, pour un week-end mère-fille

Partir un Vendredi soir de Dublin, en voiture, c’est accepter de faire partie du flot de véhicules qui se déplacent à vitesse réduite vers le Nord, l’Ouest, le Sud-Ouest, ou le Sud. Beaucoup d’Irlandais travaillent à Dublin, mais sont originaires des quatre provinces de l’île, et rentrent régulièrement pour le week-end au domicile des parents. C’est aussi l’occasion de retrouver les amis de lycée, eux aussi bien souvent dispersés sur l’île. Quasiment tous mes amis irlandais, avant qu’ils n’aient des enfants, opéraient cette routine, une fois toutes les 4 à 6 semaines, certains plus régulièrement. En Irlande, on dit qu’on peut quitter son pays, sa terre, mais qu’on ne peut pas sortir cet endroit de son cœur. Adage vérifié au fil des siècles, sans doute.

A cette époque de l’année, les jours diminuent vite (autre particularité à accepter quand on voyage l’Irlande à cette saison 😉) et à 18 heures, il fait déjà nuit noire. Il pleuvait ce Vendredi-là, et il faisait froid. Essuie-glace à fond, mais chauffage au minimum dans la voiture, ma fille étant particulièrement sensible au mal de route. Bon, eh bien, le chauffage, même à basse température, j’aurais dû éviter : première nausée, 15 minutes après être parties ! Nausée qui se répéta au moins une dizaine de fois avant notre destination, prolongeant le trajet de près d’une heure avec les nombreux arrêts ! Et bien sûr, j’ai ensuite fait le trajet pendant tout ce temps sans chauffage, les mains frigorifiées pour tenir fermement le volant entre les nids de poules qui surgissaient sans que mes phares ne les détectent !

Accueil chaleureux dans cette grande et charmante maison bourgeoise, au cœur de la campagne, que mes yeux fatigués par la concentration et les heures de route, de nuit et sous la pluie, avaient été ravis de trouver !

Strandhill et Knocknarea

Le lendemain, après un petit déjeuner plus que copieux, direction Strandhill ! Strand, ça veut dire « plage » et hill, « colline« . Ça vous donne déjà une première idée de notre journée. 😊 Strandhill est un village côtier situé tout à l’Ouest de la péninsule de Coolera, dans la douce baie de Sligo, dont l’entrée est protégée par quelques îles et îlots.

Ce que j’aime dans ce petit comté de Sligo encore méconnu des visiteurs, c’est que terre et mer tiennent dans un mouchoir de poche, sans qu’on ait besoin de faire des kilomètres.

Côté terre : Knocknarea, sur les traces de la Reine Maeve, reine de Connaught

Knocknarea Strandhill Irlande

L’idée que j’avais pour la journée était d’aller randonner sur Knocknarea (la « colline » de Strandhill), une randonnée balisée et facilement accessible pour les familles. Petit tour à l’épicerie de la station essence près du parking de départ, et nous étions équipées du pique-nique, parées pour passer le temps qu’on voudrait à gambader !

Sur cette balade, on part quasiment du niveau de la mer. Destination : le sommet, la tombe d’une reine celte du Royaume de Connaught, Queen Maeve, dont les maris (oui ! Oui ! « les » !), dit-on, devaient être forts, et ne connaître ni méchanceté, ni jalousie.

Le chemin est aménagé et monte immédiatement dès que l’on quitte le parking. 300 mètres de dénivelé au total, pour une distance de 2.5 km jusqu’au sommet. Très vite, le paysage se dévoile à mesure que nous prenons de la hauteur au travers d’un patchwork de prairies plus vertes les unes que les autres, de haies, et de moutons ici sous clôtures. Et puis, vue sur l’océan Atlantique. Sur notre gauche, Aughris Head qui s’avance vers l’océan, au Sud, et sur notre droite, la baie de Sligo, et Rosses Point, là-bas, de l’autre côté. Précédé de son plateau surélevé, ce bras de terre qui s’avance au Nord marque ainsi l’entrée du port de Sligo, et de sa baie.

En famille comté de Sligo

Quelques rares marcheurs ce jour-là sur notre chemin, une journée couverte et plutôt frisquette, à l’abri du vent pour le moment, mais je me doutais bien que nous serions exposées une fois là-haut ! On laisse les prairies et la vue dégagée pour nous enfoncer dans une forêt qui grimpe un peu plus fort. On double un groupe de 4 personnes, la plus âgée semblant vraiment peiner sur la montée. On les a retrouvés à la sortie des bois, alors que nous faisions une pause pour admirer le panorama que nous retrouvions, d’un peu plus haut, cette fois-ci. Il ne nous fallut pas longtemps pour entamer la discussion, d’autant plus que ces gens étaient accompagnés de chiens, et que ma fille se prit très vite à jouer avec eux (enfants et animaux, vecteurs imparables aux contacts sociaux !).

– Ce sont mes enfants, entama la dame soixantenaire qui peinait à reprendre son souffle. Mon fils et sa femme, et ma fille. Ils ont voulu m’emmener ici, mais ils vont me faire mourir !

– Vous êtes du coin ?

– Oui, de Sligo. Vous avez ramassé une pierre ? Les gens ramassent une pierre en chemin pour la mettre sur la tombe de Queen Maeve.

Ah… Ni une, ni deux, ma fille s’en est immédiatement chargée ! A temps, car nous étions en fait arrivées, si ce n’est à « la tombe », au moins en haut de cette colline-plateau d’où nous apercevions en fait déjà notre destination. Et quand on a vu ce tumulus apparaitre au loin, on a compris… Simplement le plus grand cairn que je n’ai jamais vu !

Knocknarea comté Sligo Irlande

Queen Maeve est une figure importante de la mythologie irlandaise locale. Elle aurait vécu il y a 2 000 ans (si elle a bien existé, car en réalité, rien ne le confirme, pas même les panneaux informatifs au début du parcours 😉). Donc, ce cairn, on peut imaginer qu’il a quelques siècles d’existence. Et si chaque personne y dépose depuis lors une pierre, pas surprenant qu’il ressemble à « une montagne sur la montagne », dixit ma fille ! 😉

On est arrivé au pied du tumulus quelques instants avant nos camarades de balade, et ma fille s’est vue proposer d’aller déposer sa pierre au pied de l’édifice en même temps que la doyenne de leur petit groupe, qui semblait beaucoup aimer les enfants. Nous avons conversé encore quelques instants, et puis nos chemins se sont laissés là, eux redescendant rapidement par là où ils étaient venus, après avoir admiré la vue.

Je n’ai pas réussi à faire de photos à la hauteur des paysages en haut, 360 degrés magnifiques. Temps gris, pas de vent finalement, temps parfait. On a écouté le silence, et les rochers alentours ont fait le bonheur de ma fille, grimpeuse de tout ce qu’elle trouve (pas sur la tombe-tumulus bien sûr).

Vue depuis Knocknarea Sligo

Nous sommes restées un long moment finalement, à l’écart du cairn, juste à admirer la vue, qui nous suffisait amplement. Terre, mer, prairies, tourbières, collines, montagnes, le tout compacté dans le champ de vision, sans même avoir à tourner la tête. Les paysages d’Irlande m’offrent de manière accessible cette impression de liberté dont j’ai tellement besoin (un comble pour une île, qui en réalité se trouve être une prison naturelle 😉). Mais quand je m’y trouve en présence de ma fille, de la voir y courir, s’amuser et rire, dans ces paysages si sauvages et généreux, cette sensation est presque décuplée, et c’est comme si corps et âme se remplissaient de sérénité, de bien-être. Un degré de plénitude que les amoureux de grands espaces connaissent bien.

Et puis, je me suis arrachée à notre instant présent et ai invité ma fille à redescendre, cette fois-ci par les tourbières et non par le large sentier tracé par lequel nous étions arrivées. Ici, les moutons sauvages profitaient d’une liberté que j’enviais presque : encore des privilégiés, de vivre au milieu de ce panorama accidenté, sans clôture aucune !

Lorsqu’après les tourbières, nous rejoignirent la forêt, épatée par « la montagne en haut de la montagne » que les gens avaient « construite » depuis des siècles en mémoire de Queen Maeve, ma fille fût bientôt inspirée : elle y assembla une cabane-sculpture, et laissa une provision de branches afin que les futurs promeneurs ajoutent la leur à l’édifice. 😉

Côté mer : Strandhill, surfeurs, plage et grand large !

Surfer Sligo Irlande

Suite à cette bien belle balade sur les traces de Queen Maeve, nous avions tout notre temps, aucun impératif, et vers 15h, après le côté « hill » du town, on s’est dirigé sur le côté « strand« .

Spot de surfeurs réputé, une trentaine à l’eau quand de notre côté on endurait bonnets, capuches, et gants sur la plage. Il n’avait pas fait plus de 5 degrés dans la journée, et le soleil peignait déjà son tableau du soir dès 15h45.

Deux heures happées par les va-et-vient des vagues, les surfeurs, les rochers, bravant le froid. Parce que l’air de l’Atlantique, c’est tellement bon ! Puis, il était temps d’aller se remplir l’estomac et se réchauffer au coin d’un feu de cheminée du pub local, à 200 mètres de la mer. Un papy était assis devant le foyer ouvert quand nous sommes entrées. Un Samedi vers 17h, en Irlande, un bon pub local où on peut se restaurer est déjà bien rempli ! On a eu de la chance, un snug (petit recoin de pub un peu secret, séparé du reste par des cloisons en bois) près de la cheminée s’est libéré à notre arrivée, et vite, il nous a fallu nous découvrir pour nous laisser envelopper par la douce chaleur du feu, et de l’endroit.

Coucher de soleil palge Strandhill Irlande

Quand mon ragoût de boeuf à la sauce Guinness accompagné de sa purée maison a été servi, j’ai lancé à ma fille :

– Tu sais ce que j’aime dans les pubs ? C’est qu’on se sent comme chez sa grand-mère.

En sortant, réchauffées et rassasiées, je lui demande :

– Dis, il me semble que tu n’as jamais vu la mer de nuit, si ?

– Non.

– Ça te dit d’y retourner ?

– OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

Elle découvrait ce spectacle magique, la mer qui montait et léchait maintenant les rochers du remblai sur lesquels elle batifolait comme un cabri quelques heures plus tôt.

– Han ! Ça fait peur ! Mais c’est fort, en fait, les vagues !

J’ai dû tenter d’expliquer les marées, et comment ça bouge l’océan, et comment elle fait la Lune… Elle était fascinée. C’était chouette, cette première fois.

Au bout de près de 45 minutes frigorifiées, je l’ai arrachée à sa fascination.

– Allez, on y va !

– D’accord ! La Mer, je t’envoie des bisous ! Merci la Mer ! A bientôt !

Vous aimerez sans doute cet autre article, sur l’émotion que procurent les paysages irlandais à ma fille. 🙂

La vie rurale dans le comté de Sligo, telle que vécue par nos hôtes

Week-end en famille Sligo Irlande

Le lendemain, la journée a donc commencé comme celle du Samedi, par un petit déjeuner gargantuesque, plus qu’un full Irish Breakfast, c’était ici aussi, en plus, un petit déjeuner continental de roi ! Nous étions les seules invitées ce week-end-là, et notre hôte m’appris lors de ce festin matinal où elle était venue s’asseoir avec nous, que nous serions les dernières.

– Demain matin, je pars dans le comté de Kildare, travailler dans des écuries. La ferme équestre n’est pas suffisante pour vivre, et le b&b, c’est anecdotique. Ici, il n’y a pas de travail vraiment qualifié. J’ai fait quelques jobs par ici, y compris serveuse à 10 euros de l’heure, mais c’est fini, je n’en veux plus, pas à mon âge !

Je l’écoutais parler d’une réalité propre à une grande partie de l’Irlande rurale : en dehors du tourisme et de l’agriculture, c’est difficile de vivre, à moins d’avoir un savoir-faire manuel peut-être.

Ce couple en début de cinquantaine était un parfait exemple de cette situation : lui travaillait déjà depuis longtemps comme project manager dans une entreprise à Galway, à 2 heures de route de chez lui. Il partait le Lundi matin, et revenait le Vendredi soir. Demain matin, Jane en ferait de même, partant pour Kildare, près de Dublin, pour la semaine.

– On est ici car on a de la chance, le terrain appartenait à la famille de mon mari, et qu’on a fait construire notre maison dessus. C’est super beau, super calme, on a la famille tout proche, oui. Mais il n’y a pas de travail.

Jane nous invita à aller faire un tour dans les écuries, ce qui fit évidemment sauter de joie ma fille. La veille au petit déjeuner, elle nous avait conseillé de nous munir de carottes et de pommes à offrir en friandises aux équidés de la maison… On avait donc fait le plein à Strandhill, et nous fûmes présentées personnellement à chacun de la douzaine d’individus ! 😉

Exploration en famille des Keash Caves, alignement de grottes en haut de falaises de calcaire

Je n’avais absolument aucun programme pour ce Dimanche, si ce n’est celui d’être de retour à Dublin pas trop tard dans la soirée. Sur conseils de nos charmants hôtes de B&B, nous avons fait une vingtaine de kilomètres sur les routes de campagne, durant lesquels j’ai répété bien souvent « Han ! C’est beau ! », ayant bien conscience que je l’avais déjà marmonné une cinquantaine de fois la veille, et donc m’excusant par avance auprès de ma fille, lui expliquant qu’en fait, ce n’était même pas à elle que je le disais, mais à moi… Je crois qu’elle passe son temps à ne pas me répondre, blasée qu’elle est sans doute de m’entendre radoter ! Mais c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à les contenir ces « c’est trop beau ! » ! Parce que ce Dimanche matin-là, à travers la campagne de Sligo ensoleillée, les douceurs vertes que l’on parcourait étaient vraiment trop belles. De douces collines contrastées par l’ombre des cumulus, une lumière toute irlandaise, des routes très rurales bordées de haies ou de clôtures, sans aucune circulation, ni même aucun village traversé ! Paisible campagne dominicale. Trop belle.

Route de campagne comté Sligo

Des grottes au coeur de la campagne de Sligo

Le lieu de notre visite ce jour-là était un site dont je n’avais jamais entendu parler, et dont j’ignorais même l’existence en Irlande : Keash caves, un réseau de grottes ouvertes à flanc de falaises ! Et il faut les trouver, parce qu’aucune signalisation ne vous y emmène, sauf lorsque vous vous trouvez à 2 kilomètres de votre destination !

A l’arrivée, un petit village-hameau sans commerce ni rue, juste une église, une boîte aux lettres publique, et une petite salle de communauté. Une dizaine d’habitations parsemées le long de la route. Un panneau solitaire trône sur le petit parking et vous donne quelques informations et directions. Il indique les grottes à trois kilomètres d’ici. Nous marchons le premier et demi sur une route de campagne typique, bordée de murets et de prairies ondulées.

– Maman, pourquoi l’herbe ici elle pousse au milieu de la route?

C’est une boreen, de son nom irlandais.

On aperçoit les grottes flanquées sur leur paroi rocheuse, en calcaire, surplombant les prairies en contrebas. Je suis vraiment surprise de voir un site de la sorte, je n’avais jamais rien vu de tel en Irlande. En chemin, on croise deux voitures aux conducteurs grisonnants, qui nous salueront de l’index levé, comme il est coutume en Irlande. L’occasion pour ma fille de lancer ce qu’elle me répète bien souvent :

– J’aime bien les vieux Irlandais, ils sont gentils !

Puis, nous atteignons un échalier qui nous permet d’enjamber la clôture, et de pénétrer dans une prairie à traverser, au pied de la petite falaise. Là, nous sommes vraiment face à cet alignement de grottes, une douzaine au total semble-t-il, aux entrées difformes mais hautes de plusieurs mètres.

Grottes Sligo Irlande

A partir de là, le sentier est balisé. A vrai dire, de sentier dans la prairie, point il n’y a, et pour atteindre le deuxième échalier trois cent mètres plus loin, ma fille passa son temps à éviter les crottes de moutons !

Et puis nous commençons à grimper en suivant un chemin, extrêmement gras même si parfois aménagé de marches créées par l’homme. Il avait beaucoup plu dans la nuit et la semaine précédente, et le sol était complètement détrempé. A l’entrée des grottes, nous étions désormais sur une sente herbeuse et accidentée, le vide sous nous pied. Ça glissait vraiment et le risque de chute était bien présent, ce qui fait qu’on n’a pas exploré autant que le site le permet, et que nous n’avons pas pu pénétrer à l’intérieur de toutes, vraiment trop dangereux.

Grottes Sligo Irlande
Visiter Sligo en famille Irlande

A l’intérieur, un gruyère au plafond parfois très bas, qui nous amusa beaucoup bien sûr, sans que l’on s’aventure en profondeur dans la roche cependant. C’était aussi plein de boue épaisse au sol, et sombre, bien entendu. Mais le peu que nous avons pu voir nous a suffi finalement. Et surtout, mon dieu ! Quelle vue depuis ces grottes ! Bien au-delà du comté de Sligo d’ailleurs, et l’horizon nous projetait jusqu’à une centaine de kilomètres de rayon, en 180 degrés ! La campagne que nous avions traversée plus tôt prenait ici tout son relief, et nous découvrions des lacs que nous ne pouvions apercevoir du niveau de la route. Et puis des fermes, et des petits points blancs dans les prairies, disséminés ici ou là, partout.

J’avais l’impression d’avoir l’âge de ma fille là-haut, tant je me réjouissais et m’amusais de cette découverte, telle l’exploratrice que j’étais dans mes jeux imaginaires d’enfant !

Fin de notre week-end en famille dans le comté de Sligo

Puis nous avons fait le chemin en sens inverse, pour retourner vers la voiture. Nous n’avons croisé personne durant ces deux grosses heures d’escapade, juste de nombreux moutons qui se demandaient bien ce que ces deux bipèdes venaient faire par-là, en ce Dimanche de Novembre.

Randonnée famille Irlande

Eh bien, nous venions juste terminer notre super week-end en famille ici, dans le comté de Sligo ! Un comté d’Irlande méconnu qui recèle pourtant de nombreuses beautés cachées et peu fréquentées, comme le sont les Keash Caves !

Et vous, avez-vous déjà visité ce comté de sligo, en famille ou entre amis ? Que pensez-vous de cette escapade ? Laissez un petit commentaire ci-dessous si ça vous dit. 😉

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Si l’envie d’explorer ce comté vous tente, je vous invite à aller faire un tour sur le blog de Vio Vadrouille, qui a vécu un temps dans le comté de Sligo, et qui partage merveilleusement ce petit bout d’Irlande !

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3 Comments

  1. Ping :Sligo : randonner à Knocknarea entre légendes et vues panoramiques

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