Aujourd’hui, je vous emmène découvrir les ponts de Dublin. Je vous raconte leurs histoires, surnoms (car les Dublinois adorent donner des surnoms aux lieux de la ville !) et autres anecdotes. Eléments choisis, et non exhaustifs. Je vous livre aussi, au fil de l’eau et des lignes, quelques anecdotes dont j’ai été témoin. 😉
A la fin de l’article, vous trouverez également quelques informations pratiques si vous souhaitez découvrir les ponts de Dublin à pied, lors d’une prochaine visite à Dublin.
Ils ne valent certes pas ceux de Paris ni de Venise, mais les ponts de Dublin sont suffisamment nombreux pour que l’on s’y penche d’un peu plus près.
C’est d’ailleurs suite à une réflexion de ma fille que l’idée de cet article dédié aux ponts de Dublin m’est venue.
– Maman, pourquoi il y a des ponts si près les uns des autres ici ?
Dans cette publication, je m’attarde uniquement sur les ponts du grand centre de Dublin, qui traversent la rivière Liffey (techniquement, il s’agit en fait d’un fleuve, même s’il n’en a pas l’allure 😉). Car de ponts, il y en a bien d’autres à Dublin, avec ses quelques canaux au Nord et au Sud de la ville.
Sur cette partie de la Liffey, il y a en moyenne un pont tous les 265 mètres ! Ils servent bien sûr, outre à passer d’une rive à l’autre, à réguler la circulation. Celle-ci, le long des quais de la Liffey, est à sens unique : rive Nord, pour aller vers le centre-ville depuis l’Ouest, rive Sud, pour en sortir. Certains sont à sens unique ou uniquement piétonniers, ou bien encore destinés aux transports en commun.
La plupart de ces ponts sont relativement récents, datant du XIXème siècle ou après. Mais en réalité, beaucoup de ces ponts ne sont que la concrétisation moderne de passages fluviaux ou d’édifices qui existaient autrefois pour rejoindre l’une ou l’autre rive de la Liffey, car, ne l’oublions pas, celle-ci fût pendant des siècles l’axe de transport majeur de la ville.
Nous nous promenons donc ici dans la capitale irlandaise que nous traversons « en son milieu » en suivant la rivière Liffey, sur une longueur d’environ 4.5km, de la gare de Heuston Station à l’Ouest, jusqu’au dernier pont à l’embouchure de l’estuaire, qui s’ouvre sur la Baie de Dublin et la mer d’Irlande à l’Est.
Sur la quinzaine de ponts listés ci-dessous (17 exactement !), j’en ai vu se construire près d’un tiers depuis le début des années 2000 !
Embarquez avec moi, et empruntons ces ponts en remontant la Liffey à travers Dublin, d’Ouest en Est. 😊
Sean Heuston Bridge
Le pont Sean Heuston enjambe la Liffey juste aux portes de Heuston Station, la principale gare de Dublin (et la plus excentrée du centre), qui dessert toutes les destinations du Sud, du centre, et de l’Ouest de l’Irlande.
Son nom actuel est en hommage à la plus jeune des victimes décédées lors du soulèvement de Pâques en 1916. Mais avant ça, ce pont construit en 1821 a eu plusieurs noms, dont King’s Bridge, en référence au roi anglais qui aurait choisi son design définitif. A Dublin, on l’appelle en fait encore le plus souvent « King’s Bridge ». J’ai d’ailleurs longtemps cru qu’il s’appelait ainsi ! 😉
Aujourd’hui, il est fermé à la circulation motorisée et permet au Luas (tramway dublinois) de circuler dans les deux sens.
Frank Sherwin Bridge
Le Frank Sherwin Bridge est un pont moderne datant de 1982, qui relie Victoria Quay à Wolfe Tone Quay. Il se trouve immédiatement après King’s Bridge en se dirigeant vers le centre-ville. Immédiatement, c’est-à-dire… moins de 100 mètres plus loin ! Il avait été commandé à l’origine pour désengorger la circulation, un goulot à cet endroit de l’entrée du grand centre-ville de Dublin. Aujourd’hui, en voiture ou en bus, il ne se traverse que du Sud vers le Nord.
Rory O’More Bridge
Construit dans la deuxième moitié du XIXème siècle, le joli pont bleu mono-arche Rory O’More a lui aussi été renommé pour honorer un patriote suite à la guerre d’indépendance de l’Irlande dans les années 1919-1921. Le pont original cependant était un pont en bois, construit deux cent ans plus tôt. Il était surnommé, parait-il, « Bloody Bridge » (« Pont sanglant ») à la suite de plusieurs assassinats qui s’y seraient passés…
Pont James Joyce
Un pont récent datant du début des années 2000, que le pont James Joyce, nommé après l’un des plus célèbres écrivains irlandais. L’édifice en métal blanc posé sur les berges (pas d’arche) est d’un design doux et moderne, et est éclairé la nuit. C’est celui qui se rapproche le plus d’un autre pont de la même époque, lui aussi nommé après un écrivain irlandais, et dont il vous faudra attendre de remonter la Liffey quelques kilomètres pour le trouver. 😉 S’il est très design, j’avoue que ce pont n’est pas du tout pratique pour les piétons. Avec ses passages latéraux en verre, c’est une vrai patinoire dès qu’il pleut, ou qu’il verglace !
Mellows Bridge
Mellows Bridge relie Queen Street au Nord, à la rive Sud de la rivière Liffey, et a le privilège d’être le vieux monsieur des ponts de Dublin présents dans cet article. En effet, il date de 1768 (9 ans après la création de Guinness !). Sa structure actuelle avait été commissionnée pour desservir les quartiers Nord des alentours, devenus très commerçants à une époque où la population dublinoise avait plus de doublée par rapport au pont original construit à cet endroit près de 100 ans plus tôt. C’est le premier des trois ponts à trois arches qui se suivent en traversant la vieille ville historique et en continuant vers l’Est.
Father Mathew Bridge
Father Mathew bridge est un point de circulation important car il dessert directement le Nord de la ville (Phibsoborough) et le quartier des Liberties et autres axes principaux au Sud. Par sa situation géographique, il connecte aussi des quartiers historiques de la ville. Un point de passage existerait d’ailleurs à cet endroit depuis le Moyen-âge. Le pont actuel date de la première moitié du XIXème siècle.
Pont O’Donnovan Rossa
Troisième des ponts à trois arches qui se succèdent, le O’Donovan Rossa Bridge dessert lui aussi le quartier des Liberties, en passant d’abord au pied du nouvel hôtel de ville de Dublin. Lors de sa construction en 1818, avec ses presque 15 mètres de large, il était plus large que n’importe quel pont à Londres, ce qui n’était pas rien à l’époque !
Grattan Bridge
Grattan Bridge, qu’on appelle le plus souvent Capel Street Bridge, du nom de l’artère principale du centre-ville Nord qu’il prolonge, est également une version moderne d’un ancien pont qui ne supportait plus la charge des charrettes et cargaisons en tout genre qui le traversaient. Personnellement, j’adore ses parapets en fer forgés vert, décorés de chevaux-poissons, ainsi que ses lampadaires qui en font un pont unique et très charmant… et un super point pour les couchers de soleil sur la ville !
Millenium Bridge
Voici bien un pont qui passe quasiment inaperçu une grande partie de l’année, la faute à son voisin d’après qui lui vole la vedette côté photogénie ! Le Millenium Bridge est le premier des ponts piétonniers du centre-ville, lorsque l’on suit la Liffey d’Ouest en Est comme nous le faisons ici. Il s’agit d’une simple plateforme, très discrète (trop ?), en bois laminé, supportée par une fine structure métallique, et qui enjambe la Liffey depuis une rue du fameux quartier de Temple Bar au Sud, et la relie au passage piétonier du « Quartier italien » côté Nord. Mais le Millenium Bridge (inauguré juste avant le passage à l’An 2000) a sa revanche de popularité lors des fêtes de fin d’année, puisque pour l’occasion, Dublin City Council le pare d’arches éclairées, multicolores dynamiques sur toute sa longueur (photo sur mon compte Insagram). Il colore ainsi les eaux de la Liffey par ses reflets nocturnes, et est alors ultra prisé des selfy-ers et autres photographes à cette saison ! 😉
Ha’Penny Bridge
Voici la star des ponts dublinois, toutes catégories confondues ! Photographié sous tous les angles à longueur de journée, de nuit, et d’année, il faut dire que c’est certainement pour beaucoup le plus charmant des ponts de Dublin. Lieu emblématique de la capitale, ce pont piétonnier en fer forgé blanc doit son nom, le Ha’Penny Bridge, au coût que cela coutaît de le traverser à l’époque de sa construction en 1816 : « half a penny », un demi penny. Traversée qui fût payante jusqu’en 1919. C’est le plus ancien des ponts piétonniers de la ville, il se trouve dans l’hyper-centre et relie le cœur de Temple Bar rive Sud, à la rue piétonne et commerçante d’Henry Street un peu plus loin au Nord. On estime à 30 000 le nombre de personnes qui l’empruntent chaque jour !
Ha’Penny Bridge n’est en réalité pas son nom officiel, car celui qui figure dans les registres est « Liffey Bridge ». Mais les 4 plaques officielles (cachées derrière des poubelles !) qui se trouvent aux deux extrémités du pont, ainsi qu’une autre gravée dans le granite sur la rive Nord, mentionnent toutes un pont (sur)nommé « Ha’Penny Bridge » ! 😉
O’Connell Bridge
Dans le cœur de la ville comme dans celui des Dublinois, le O’Connell Bridge existe ainsi depuis 1880. Il a été immortalisé par James Joyce, dans son ouvrage Ulysses. Une plaque à son effigie se trouve d’ailleurs sur le pont.
Une autre plaque a pris place en 2006 sur le pont, en l’honneur d’un certain Father Pat Noise. Elle est passée inaperçue pendant 2 ans jusqu’à ce qu’un journaliste local en fasse part au conseil municipal de la ville de Dublin. Le personnage est fictif et la petite plaque a été installée par deux frères malicieux. Il a été question de la retirer, mais des personnes de Dublin City Council s’y sont fermement opposées. Une anecdote toute dublinoise qui à l’époque nous a fait beaucoup rire et parler !
Une autre anecdote à propos de ce pont central de Dublin, concerne ses dimensions. Beaucoup croient que le O’Connell Bridge est carré, ce qui en soit, est assez particulier pour un pont. Oui, parce que la Liffey, question largeur, ce n’est pas le fleuve Saint-Laurent au Québec ! (Amis Québecois, ne riez pas ! 😉). En réalité, le O’Connell Bridge est même plus large que long, de 5 mètres, ce qui en fait un pont unique en son genre en Europe ! 😉 Je vous mets d’ailleurs au défi de réussir à le traverser à pied d’un bout à l’autre, sans presser le pas, lorsque le signal est vert ! 😉
Pont Rosie Hackett
Le pont sauveur ! Celui qui a permis, enfin, de relier les deux lignes de tram de Dublin, séparées pendant des années de… Un kilomètre ! Le Rosie Hackett Bridge a été inauguré en 2014 mais ce n’est qu’en 2017 que le Luas l’a traversé pour la première fois. Comme le tout premier pont cité dans cet article, le Rosie Hackett Bridge est exclusivement réservé aux transports en communs et aux cyclistes et piétons. Bus dublinois et tramways le traversent en sens unique du Nord au Sud et il est doté de bandes latérales piétonnes (super glissantes par temps humide… ça me rappelle vaguement un autre pont… 😉).
Butt Bridge
Plutôt sobre (moche ?), ce pont en béton marque la fin de la promenade suspendue au-dessus des eaux de la Liffey, qui court depuis Grattan Bridge en aval, le long des quais Nord. A marée haute (oui, car la Liffey est sujette aux marées 😉 ), les eaux noires de la rivière viennent lécher ses arches très basses, et les petites embarcations qui s’aventurent sur la Liffey doivent prendre en compte les heures de marées pour le franchir ! Aujourd’hui, Butt Bridge est un pont à trois voies et à sens unique, aux portes de Tara Station, la plus petite gare du centre-ville.
Loopline Bridge
On y prête peu attention en visitant la capitale irlandaise, car ce pont est exclusivement ferroviaire. Pourtant, Loopline Bridge est crucial puisque c’est ce pont qu’emprunte le Dart, le train côtier de la ville, pour desservir les côtes Sud et Nord de Dublin. Et c’est le seul qui lui permette de traverser la rivière Liffey ! 😉 Posée sur des pilliers cylindriques lui permettant d’enjamber la Liffey, sa structure métallique datant de la toute fin du XIXème siècle fait au total environs 120 mètres de long, et permet de relier les gares de Tara Station au Sud, à Connolly Station au Nord.
Envie de sortir de la ville, tout en restant à Dublin, avec une vraie randonnée nature à la journée ? Découvrez cet article sur les premiers kilomètres du Wicklow Way !
Talbot Memorial Bridge
Il ressemble au Butt Bridge cité précédemment, en un peu plus élégant peut-être. En béton, Talbot Memorial Bridge paraît lui aussi très bas lorsque la Liffey est à marée haute. Aujourd’hui, il marque le début du quartier financier IFSC et des docklands réabilités vers l’Est, et offre la meilleure vue qu’il soit sur Custom House, sur le quai Nord du fleuve. C’est aussi un très joli point de vue pour photographier le lever du soleil plein Est dans le prolongement de la Liffey, avec vue sur un pont très photogénique dont je vous parle plus bas, le Samuel Beckett Bridge. 😉 Et puis, c’est à partir de là que la Liffey s’élargie notablement et progressivement jusqu’à atteindre son embouchure moins de 2 kilomètres plus loin.
Pont Seán O’Casey
Troisième et dernier pont piétonnier de la ville, le Seán O’Casey Bridge est aussi le plus récent. Avec sa silhouette faisant penser à une grande sauterelle, il est très utilisé notamment par les nombreux employés du quartier financier au Nord pour aller et venir vers la ville, rive Sud. C’est lui qui s’offre à vous lorsque vous visitez le musée EPIC sur l’émigration irlandaise. Il a la particularité de s’ouvrir en pivotant pour laisser passer les embarcations.
A l’époque de son installation, je travaillais dans des bureaux sur les quais, tout proche, et j’étais donc aux premières loges pour assister au chantier de cette élégante structure métallique !
Les premières années, il était muni de sortes de flotteurs latéraux, qui ont depuis été retirés, et il n’était pas rare d’y voir s’y poser de temps en temps un phoque curieux (que je soupçonnais être toujours le même) qui s’aventurait jusqu’ici depuis la mer d’Irlande toute proche.
Samuel Beckett Bridge
Une harpe géante, blanche, métallique, de 120 mètres de long et de près de 50 mètres de haut au-dessus de la Liffey, voilà ce que le Samuel Beckett Bridge évoque lorsqu’on l’aperçoit. Le dernier arrivé des ponts Dublinois de cet article, il date de 2009 et coïncide avec la renaissance de ce quartier autrefois laissé à l’abandon. Illuminé la nuit et au fil des évènements de l’année (vert pendant la St Patrick, Bleu lorsque Dublin remporte le championnat de football gaélique, ou animé pendant les fêtes de fin d’année). Comme le précédent, ce pont s’ouvre en pivotant vers le Sud. Rare et souvent de nuit, si vous souhaitez assister à son ouverture, vous pouvez trouver les dates programmées sur le site de Dublin Docklands ! 😉
Tom Clarke Bridge
Voici le dernier pont de Dublin avant la mer d’Irlande, ou pour les marins, le premier qui marque l’embouchure de la Liffey ! Lui aussi s’ouvre pour laisser passer les éventuelles embarcations, mais contrairement aux deux ponts précédents, celui-ci ne pivote pas : le Tom Clarke Bridge se soulève en son milieu, tel un pont-levis. Vous arrivez là au port de Dublin et il a la particularité de n’être accessible à pied que par sa rive Nord (à moins de faire un grand détour et nombre de badauds se font avoir en espérant arriver à la mer par les quais sud ! 😉). De là, les deux cheminées emblématiques de Dublin sont toutes proches, on aperçoit aussi le phare de Poolbeg à plus de cinq kilomètres de là. La pancarte qui indique le début de la rivière Liffey, ainsi qu’une bouée marine avec des villes du monde et leur distance depuis ce point. Les visiteurs viennent peu sur ce pont. Pourtant, quand je m’y plante, en regardant vers l’estuaire qui s’ouvre vers la mer, je pense inévitablement au passé de l’Irlande, aux Irlandais qui quittaient l’île pour émigrer vers des futurs plus prometteurs, et avant ça, aux colons venus de l’extérieur, les Vikings entre autre, qui ont colonisé la ville en empruntant un jour où l’autre ce passage.
Découvrir les ponts de Dublin à pied
En fait, je le fais de temps en temps, me balader à pied le long de la Liffey, au fil des ponts de la capitale irlandaise. C’est aussi, je trouve, une manière différente de visiter Dublin. On traverse la ville à toutes les époques, toutes les architectures, on passe devant des lieux emblématiques, y compris l’usine Guinness, qui donne sur les quais Sud. Bien sûr, balade plus sympathique à faire lorsqu’il n’y a pas de circulation sur les quais ! 😉
Se rendre au premier pont dublinois de la balade
Depuis le centre-ville, disons Abbey Street tout proche d’O’Connel street, grimpez dans le Luas (tramway), ligne rouge, et direction de Tallaght/Saggart. Descendez en moins de 10 minutes à Heuston station, et voilà ! Vous êtes, littéralement, à deux pas du Sean Heuston Bridge, le premier pont de la balade !
Sachez que cette ligne de tram est parallèle à la Liffey sur tout ce trajet, et que vous pouvez donc décider d’arrêter ou de reprendre cette balade à pied à Dublin où et quand vous voulez… et de sauter dans le tram qui ne sera jamais à plus de quelques centaines de mètres de là où vous êtes ! 😉
Revenir en centre-ville
Si vous êtes arrivés jusqu’au dernier pont de cet article, le Tom Clarke Bridge, et souhaitez revenir en centre-ville sans marcher, rien de plus simple ! A 100 mètres du Tom Clarke Bridge, rive Nord, se trouve le terminus de la ligne rouge du Luas, à l’arrêt qui s’appelle The Point, du nom de l’ancienne salle de concert, toujours présente mais aujourd’hui renommée. Le tramway traverse le quartier de l’IFSC avec différents arrêts et vous déposera en quelques minutes sur O’Connell Street ou ailleurs en hyper-centre ! 😉
Alors, dites-moi, maintenant que vous êtes arrivé jusque là, et que vous avez suivi la Liffey à travers Dublin et au fil de ses ponts, qu’avez-vous retenu? Une anecdote ? Un pont en particulier ? Une autre façon de visiter la capitale ? 😉 Je suis curieuse, dites-le moi en commentaires ci-dessous ! 😉
Et bien sûr, partagez cet article avec tous les curieux d’Irlande et de Dublin ! 🙂
Ils sont (presque) tous magnifiques ces ponts dublinois. Qu’ils soient anciens ou modernes, chacun a son charme particulier
Et ce qui est chouette avec les ponts, où que ce soit, c’est qu’ils peuvent s’apprécier sous différents angles. 🙂
Les ponts sont souvent une trace de l’histoire de la ville. Ils permettent de suivre son évolution dans le temps et l’espace. Merci pour cette balade au dessus de l’eau.
Oui, c’est vrai. A Dublin, on y prête peu attention, je trouve.
Merci pour ces belles traversées ! Symboliques, en ces temps confinés ! J’ai bien aimé l’histoire du 0’Connell Bridge, la facétie des deux frères, bien dans l’esprit irlandais ! 🙂 et la réaction positive du Concil, la référence à Joyce également. Apprécié aussi le portrait du phoque… tout dans ce reportage est réjouissant, il m’a emmenée dans une jolie balade à Dublin, qui me manque par la force des choses…